Titre : Il faut sauver
Zoé
Auteur : Alyson Noël
Edition : Michel Lafon
poche
Nombre de pages : 297
Écho
a connu des jours meilleurs, et son entrée au lycée n'annonce aucune embellie…
Car comment s'épanouir alors que le souvenir de sa sœur, Zoé, disparue un an
plus tôt, continue de la hanter ?
Quand
on lui remet le journal intime de Zoé, Écho découvre, au fil des pages, les
secrets que cette dernière a toujours boulu cacher. Et, entre les lignes, le
seul moyen pour Écho de se révéler…
Écho
est une jeune fille timide, réservé, secrète, elle se laisse plutôt influencer
par les autres et manque terriblement de confiance elle. Zoé est une adolescente
belle, pétillante, aimée et elle est intrépide et rebelle. Jenay et Abby sont les
deux meilleures amies d'Écho, Jenay est très sociable et séductrice alors
qu'Abby est un peu plus romantique et à l'écoute.
J'ai apprécié
la diversité des personnages et le fait qu'il y ait de nombreux secrets etc… J'ai
particulièrement aimé découvrir la vie de Zoé à travers son journal intime et
les circonstances de sa mort seulement grâce à des indices. J'adore aussi le
sujet, le deuil, qui est mon sujet de prédilection en matière de lecture, même si
ça peut parfois être un peu prévisible c'est toujours plaisant de lire un ouvrage
de ce genre. De plus, j'ai trouvé très intéressant de voir les différentes
manières de gérer le deuil par l'intermédiaire des protagonistes. Je pense que
c'est vraiment un bon roman pour les personnes plus jeunes car il délivre un
bon message et malgré quelques éléments qui peuvent paraître choquant je trouve
que c'est justement ce qui peut faire réagir.
Passons
aux points négatifs maintenant. Déjà j'ai eu du mal à accrocher avec Écho du
fait de son jeune âge, cependant j'ai vraiment adoré Zoé même si je n'ai pas pu
non plus m'identifier car nous n'avons que très peu de points communs. J'ai
l'impression que c'est un mélange entre "Le ciel est partout" et
"Love letters to the dead" mais malheureusement, en moins bien.
Donc pour
moi c'est un livre sympa et agréable à lire mais pas indispensable.
"Zoé était un
paradoxe ambulant"
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